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Jᴏᴜʀɴᴇ́ᴇ ɪɴᴛᴇʀɴᴀᴛɪᴏɴᴀʟᴇs ᴅᴇs ᴅʀᴏɪᴛs ᴅᴇ ʟᴀ ғᴇᴍᴍᴇ

La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote.
C'est en 1975, lors de l'Année internationale de la femme, que l'Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des Droits des femmes le 8 mars.

Voici quelques conseils de lecture à offrir aux femmes ET aux hommes, pour ce jour et tous les autres...

#InvestInWomen #lesfemmesveulent #manspreading #lesprincessesontdespoils #droitsdesfemmes

45,00

Cet ouvrage aux 40 signatures parcourt en plus de cent focus illustrés deux siècles d'une histoire mondiale des féminismes. L'amplitude chronologique, la multiplicité des récits par des autrices du monde entier et la grande richesse iconographique de cet ouvrage visent à en faire un livre de référence.


12,40

«Comment la femme fait-elle l'apprentissage de sa condition, comment l'éprouve-t-elle, dans quel univers se trouve-t-elle enfermée, quelles évasions lui sont permises, voilà ce que je chercherai à décrire. Alors seulement nous pourrons comprendre quels problèmes se posent aux femmes qui, héritant d'un lourd passé, s'efforcent de forger un avenir nouveau. Quand j'emploie les mots "femme" ou "féminin" je ne me réfère évidemment à aucun archétype, à aucune immuable essence ; après la plupart de mes affirmations il faut sous-entendre "dans l'état actuel de l'éducation et des mœurs". Il ne s'agit pas ici d'énoncer des vérités éternelles mais de décrire le fond commun sur lequel s'élève toute existence féminine singulière.» Simone de Beauvoir.


32,00

Entreprise monumentale qui a mobilisé plusieurs dizaines de contributeurs, ce volume est une véritable encyclopédie du génie féminin à travers les siècles.
Marta Abba, femme de théâtre, ouvre la marche ; Zouc, sa consœur, la ferme, voisinant avec la reine Zénobie et Clara Zetkin : indice de la diversité de la longue colonne des " femmes mémorables " (plus d'un millier), objet de ce livre. Outre celles que le récit conventionnel du passé avait retenues – Clotilde, Jeanne d'Arc, Aliénor d'Aquitaine ou Catherine de Médicis – , on y croise des comédiennes, photographes, peintres, écrivaines, scientifiques, danseuses, musiciennes, sportives, cinéastes, journalistes, politiques, des saintes et des meurtrières. Ni une foule ni un peuple ; plutôt des exceptions, dont l'action a, d'une manière ou d'une autre, brisé la répartition traditionnelle des rôles et des espaces sexuels. Leur point commun : elles prétendaient à l'espace public interdit, surtout dans les domaines de la création. Elles ont reculé, voire franchi les limites habituellement imposées aux femmes. Elles sont des passeuses de frontières, des empêcheuses de tourner en rond dans la sempiternelle chorégraphie répétitive de la sphère privée, zone censée du bonheur. Elles ont parfois renoncé à tout concilier dans l'obscurité du quotidien. Elles ont ouvert des chemins de traverse. Elles ont osé. À ce titre, elles sont mémorables. Michelle Perrot


Manifeste : Militer contre les violences de genre

Collectif Noustoutes

Éditions Les Liens qui libèrent

12,00

L' « égalité femmes-hommes », grande cause des deux derniers quinquennats ? Cause toujours, oui !
Face à l'impunité des agresseurs, la silenciation des victimes et l'inaction de l'État, il nous reste la colère. Une colère qui gronde et résonne de plus en plus fort et largement dans la société. Une colère qui, depuis 2018 et l'ère #MeToo, anime les militantEs du collectif féministe #NousToutes. Car l'engagement peut être une stratégie de survie. Un moyen de (re)nouer des solidarités. D'être puissantEs. En inventant de nouvelles façons de militer, #NousToutes invite à entrer dans une révolte féministe massive en constante évolution. Ses bénévoles dénoncent, attaquent, réveillent les pouvoirs publics et les consciences : éradiquer les violences de genre est urgent... et possible !

Né en 2018, le collectif féministe #NousToutes lutte contre les violences de genre. Sur les réseaux sociaux, leurs encarts violets égrenant le nombre de féminicides sont repris par des dizaines de milliers d'internautes, et dans les rues, les murs se recouvrent de leurs mots adressés aux victimes de violence : « Je te crois ».


8,50

«Je suis convaincue de l’urgence morale qu’il y a à nous atteler à imaginer ensemble une éducation différente pour nos enfants, pour tenter de créer un monde plus juste à l’égard des femmes et des hommes.» À une amie qui lui demande quelques conseils pour élever selon les règles de l’art du féminisme la petite fille qu’elle vient de mettre au monde, Chimamanda Ngozi Adichie répond sous la forme d’une missive enjouée, non dénuée d’ironie, qui prend vite la tournure d’un manifeste. L’écrivain nigériane examine les situations concrètes qui se présentent aux parents d’une petite fille et explique comment déjouer les pièges que nous tend le sexisme, à travers des exemples tirés de sa propre expérience. Cette lettre manifeste s’adresse à tous : aux hommes comme aux femmes, aux parents en devenir, à l’enfant qui subsiste en nous et qui s’interroge sur l’éducation qu’il a reçue. Chacun y trouvera les clés d’une ligne de conduite féministe, qui consiste à croire en la pleine égalité des sexes et à l’encourager.